Père >>> Pāpā ou metua tāne
Mère >>> Māmā ou metua vahine
Frère >>> Tu’āne
Sœur >>> Tuahine
Frère aîné ou cousin plus âgé (pour un garçon) >>> Tua’ana
Soeur aînée ou cousine plus âgée (pour une fille) >>> Tua’ana
Père adoptif >>> Pāpā ou metua tāne fa’a’amu
Mère adoptive >>> Māmā ou metua vahine fa’a’amu
Frère adoptif >>> Tu’āne fa’a’amu
Sœur adoptive >>> Tuahine fa’a’amu
Grand-père >>> Pāpā ’ū ou pāpā rū’au
Grand-mère >>> Māmā ’ū ou māmā rū’au
Oncle >>> Pāpā (+ prénom) ou pā’ino
Tante >>> Māmā (+ prénom) ou pātea ’ino
Cousin >>> Taea’e
Cousine >>> Tuahine
Cousin plus âgé (pour un garçon) >>> Tua’ana
Cousine plus âgée (pour une fille) >>> Tua’ana
Passons à la nourriture, en Polynésie on y voue presque un culte. C’est bien connu, bien manger c’est le début du bonheur et en tant que mā’ohi on ne déroge pas à la règle.
Précision : Certains plats n’ont pas de traduction.
Te ’ūmara pūtete farai ’e te ’i’o pua’atoro farai : Le steak frites
Te “chao-men” : Le chao-men
Te pua’a ’ava’ava : Le porc à la sauce aigre douce
Te pua’a vairanu tio : Le porc à la sauce huître
Te i’a ota tāha’ari : Le poisson cru au lait de coco
Te i’a ota taiero : Le poisson cru au coco fermenté
Te i’a farai : Le poisson frit
Te faraoa firifiri : Le beignet à la farine
Te faraoa ’īpō : Le pain “ipo”
Te pua’aniho tāha’ari : La chèvre au lait de coco
Te pāhua “curry” tāha’ari : Le bénitier au curry et au lait de coco
Te pua’a “choux” : Le porc au choux
Te pua’atoro ’uru : Le boeuf haché accompagné du fruit à pain
Te fāfaru : Le poisson fermenté à l’eau de mer
Te po’e : Dessert préparé à base d’amidon et de fruits
Te moa e te fāfā : Le poulet au “fafa” jeunes pousses de tubercules
Passons au chant, c’est un procédé essentiel à la vie d’un polynésien, c’est une marque de fabrique car avant tout, le reo est une langue orale ainsi, le chant est automatiquement un moyen d’apprendre, de se comprendre et de partager. Le hīmene est ainsi un point de passage obligé de la vie d’un mā’ohi. Voyons les types de chants existant en Polynésie avec le lexique suivant.
Rythme entraînant
Rythme lent + doigt sur la joue
(Paripari - histoire du fenua, pays) (’Ārearea - intègre le comique)
Rythme très rapide, très entraînant (même mélodie)
Chants modernes qui regroupent la dernière catégorie, plutôt pour les chants religieux et papa’ā pour les chants profanes.
Chant rythmé en frappant répétitivement des mains
Préf. Pā (utilisation d’un objet, d’un outil ou d’un moyen) + ta’u (résonner plusieurs fois) + Réduplication ta’u (répétition de l’action)
La danse est considérée par beaucoup comme la forme la plus emblématique de la culture polynésienne, c’est d’ailleurs une des raisons pour laquelle notre destination est si prisée, notamment aux mois de juin et juillet, pendant la période du Heiva, festival de danse et de sports traditionnels. De plus, la danse est une autre forme d’expression qui nous est propre.
Te ta’ata ’ori : Le danseur
Te vahine ’ori : La danseuse
Te huraavatau : Le danseur amateur
Te hurahou : Le danseur novice
Te hurarau : Le danseur polyvalent
Te huratāmau : Le danseur professionnel
Te huratau : Le danseur expérimenté
Te huratini : Le danseur confirmé
Te pupu ’ori : Le groupe de danse
Te ’upa’upa : L’orchestre
Te mau ta’ata hīmene : Les choristes
Te ’aparima : La danse avec la gestuelle des mains
Te mau ta’ahira’a ’āvae : Les pas de danse
Te hivināu : La danse en cercle par couple
Te hura : La danse ancestrale
Te ’ōte’a : La danse cadencée avec les danseurs disposés en rangées
Te pā’ō’ā : La danse très cadencé en frappant des mains
Te pā’oti : La danse des ciseaux
Te tāmūrē : Nouvelle appellation de la danse tahitienne
Tē hina’aro nei au e ’amu i te tahi mau ’ūmara pūtete farai ’e te ’i’o pua’atoro farai.
J’ai envie de manger un steak frites.
E aha teie huru hīmene, e hīmene tārava ’aore rā e himene rū’au ?
Quel est ce type de chant, un chant au rythme entraînant ou un chant au rythme lent ?
’Ua rave mai te pupu Nonahere i te tahi ’ōte’a.
Le groupe Nonahere à réalisé une danse cadencée avec ses danseurs disposés en rangées.
E mea au roa nā mātou e hīmene i te pāta’uta’u o te ’uru ma te fa’aineine i te pua’atoro ’uru.
Nous aimons chanter le chant du fruit à pain rythmé en préparant le boeuf haché accompagné du fruit à pain.
E mea ’aravihi roa te ’upa’upa o teie pupu ’ori.
L’orchestre de ce groupe est très brillant.
I teie mahana, e pi’ihia te ’ori Tahiti, te tāmūrē.
Aujourd’hui, la danse tahitienne est appelée “tamure”.